DÉCOUVREZ LA NOUVELLE VIDÉO CARAN D’ACHE DÉDIÉE À SON SAVOIR-FAIRE HAUTE ÉCRITURE CENTENAIRE, AVEC LA PARTICIPATION DE SON AMBASSADEUR JON MONNARD, ÉCRIVAIN SUISSE.

Caran d’Ache présente sa nouvelle vidéo savoir-faire dédiée à la Haute Écriture. La Maison suisse fait une analogie entre le processus d’écriture et la fabrication d’instruments d’exception afin de mettre en lumière la précieuse expertise ainsi que le travail de précision de ses Maîtres Artisans.

 

Dans son nouveau film, Caran d’Ache se livre à un exercice de style inédit avec la mise en scène d’un écrivain, assis seul face à la page blanche, seul face à lui-même. Pour cette vidéo, la Maison a fait appel à son ambassadeur Haute Écriture, depuis 2019, Jon Monnard, l’auteur suisse de « Et à la fois je savais que je n’étais pas magnifique ». Mais, si la présence du romancier installe l’histoire, c’est bel et bien la tradition et l’amour de la Maison pour les créations d’exception, qui sont mises à l’honneur.

Loin du syndrome du créatif en quête d’inspiration, Caran d’Ache parallélise astucieusement la composition d’un texte abouti et la fabrication d’instruments de Haute Écriture. La plume de l’écrivain hésite, questionne, écrit, corrige puis recommence. L’artisan questionne, soupèse et évalue ; ses mains précises coupent, pressent, polissent, gravent les nobles matériaux. Le superflu mis de côté, il ne reste que l’essentiel : la forme et la beauté. Une fluidité entre deux histoires indissociables, qui mettent ainsi en valeur les savoir-faire précieusement gardés de Caran d’Ache qui, depuis 1930, imagine et fabrique des chefs d’œuvres de Haute Écriture.

Au travers de ses savoir-faire et de sa maîtrise des matières précieuses, la Maison suisse développe et confectionne, dans ses ateliers situés à Genève, ses instruments de Haute Écriture alliant esthétique, confort et noblesse des matériaux, mais également ses instruments d’Écriture et de Beaux-Arts. Des univers indissociables les uns des autres tant l’exceptionnelle expertise couleur de la Maison lui permet de créer des instruments habillés de multitudes de différentes teintes.

L’or, le platine, le rhodium ou encore la laque de Chine prennent vie au travers des collections Ecridor, Léman, Varius et de pièces exceptionnelles ; des collections autour desquelles se cristallisent des métiers devenus rares.

Les techniques de guillochages donnent vie à de subtils jeux d’ombres et de lumières sur le corps des instruments de Haute Écriture. Un guillochage au diamant apporte finesse et brillance au décor, tandis que le laser permet de graver des détails minutieux et offre un rendu moins profond, mais plus mat. Le burin et la fraise quant à eux creusent la matière en profondeur ; alors que le premier permet de réaliser des motifs longilignes et des angles saillants, la seconde grave des décors arrondis et complexes.

Au travers de gestes précis et méticuleux, la matière est polie, tout au long du processus, pour apporter douceur au toucher, confort à l’écriture et éclat au design. Le polissage constitue la touche finale de la fabrication au travers de l’avivage qui apporte de la brillance et embellit la pièce.

Tout aussi exigeante, la laque nécessite une précision remarquable. Dans sa préparation et son application, dans le choix du vernis brillant, mat ou satiné, le savoir-faire du maître laqueur s’avère essentiel. Il l’est encore davantage dans l'art ancestral de la laque de Chine. Issue de la sève du laquier (Rhus verniciflua), cette précieuse matière, organique et vivante, est longuement travaillée et déposée en de nombreuses couches sur les pièces des instruments d’écriture. Transmis soigneusement de génération en génération, le travail de la laque de Chine fait de Caran d’Ache une des uniques entreprises occidentales à la maîtriser, et cela depuis plus de 30 ans.